Un corps humain est lá quand, entre voyiant et visible, entre touchant et touché,entre un oeil et l’autre, entre la main et la main se fait une sorte de recroisement, quand s’allume l’étincelle du sentant-sensible, quand prend ce feu qui ne cessera pas de brûler, jusq’á ce que tel accident du corps défasse ce que nul accident n’aurait suffi à faire. Merleau-Ponty
sábado, 31 de outubro de 2009
Ao autor
A sombra daquilo que sou dá à luz o que procuro...
Fotografia: Carlos Muralhas - Texto: Llyrnion
(Fotografias da escultura "frágil" de Miguel Figueiredo)
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